Faire rire où donner à réfléchir, c’est ce la mission à laquelle s’attèle Bastos dès lors qu’il poste sur ses réseaux sociaux. Dernièrement, le jeune homme a invité sa communauté à s’interroger sur la distinction entre l’homme et l’artiste. « Je crois que l’art est un don de Dieu. Pas à l’artiste, mais à l’humain. Être capable d’être touché par cet art. Pour l’artiste, c’est bien plus un fardeau qu’une bénédiction parce que ça vient souvent avec une gigantesque sensibilité. Une différence pas facile à porter. Ça peut déboussoler. C’est comme si tu étais un magicien dans un monde de moldu. Tu as l’impression d’être le contact de Dieu. Ça donne lieu à des comportements un petit peu limite bien souvent. Des opinions un peu pourries. Cependant, si tu interdis à l’artiste de produire son art, ce n’est pas l’artiste que tu sanctionnes, c’est l’humain », a-t-il de son côté confié quant à ce sujet épineux. 

Bastos n’a plus la patience

Dans sa story Instagram du vendredi 17 février, Bastos a, comme il lui arrive fréquemment, commenté l’actualité de ses camarades de tournage et autres people. Cette fois-ci, le candidat a reposté une photo de Bilal Hassani reprise par nombre d’internautes. Sur cette dernière, le juré de Danse avec les stars pose à califourchon sur un homme ressemblant étrangement à Mujdat Salam, l’ex de Milla Jasmine. Comme beaucoup, l’ex de Victoria Mehault a souligné ce curieux hasard. 

Toutefois, le fait qu’il ait ironiquement écrit que Mujdat était « en roue libre » n’a visiblement pas plut à quelques-uns. Ainsi, il a partagé un message qu’il a par la suite reçu. « Être gay = être en roue libre, on n’est pas loin de l’homophobie », a stipulé un détracteur de celui qui s’illustre également sur YouTube. Exaspéré, Bastos a donné son avis sur la question : « Quel rapport ? C’est le shoot qui est hot. Parfois, je manque de force. Je bloque cette personne, je préfère vous l’avouer ».