Une vidéo postée dans la story de Dadju a dernièrement fait parler sur les réseaux sociaux. On peut en effet y voir le frère de Gims en train d’embarquer dans un fourgon blindé. Tout aurait selon lui commencé à l’aéroport alors qu’il devait prendre un vol. Les choses ne semblent pas toutefois s’être passées comme elles le devaient. Ce qui l’amène à déclarer dans un premier temps : « Air France, ça annule sans raison et le lendemain, ça retarde sans raison. Mais… j’ai quand même droit à un bon d’achat ». Il poste alors une capture des réservations Air France qu’il a réalisées en date du 25 janvier dernier. À en croire ses révélations, le jeune papa devait se rendre à l’aéroport Paris- Charles de Gaulle. Son coup de gueule témoigne en tout cas du fait qu’il soit toujours bloqué dans le hall à cause des retards pris par son vol.

Dadju n’est pas sorti de l’auberge

Dadju n’a pas encore donné de précisions sur ce qui lui est vraiment arrivé par la suite. Il continue toutefois à poster des stories de plus en plus virulentes à l’égard de la compagnie aérienne. Le chanteur qui est visiblement frustré d’être bloqué de la sorte alors qu’il doit voyager avec ses enfants. Face à l’ampleur du problème, le frère de Gims renchérit donc en s’adressant directement à Air France. « Vous me devez de l’argent. J’ai payé trop trop cher les billets pour que ça termine en bon d’achat. Rendez-moi mon argent » lance-t-il furieux. Il reste à savoir si son message est passé auprès des responsables.

D’après ce qu’on a cru comprendre, le pilote annonce par la suite une panne susceptible d’annuler à nouveau son vol. Il a pourtant déjà embarqué avec énormément de retard dans le cockpit. Sans avoir donné plus de précisions concernant la complexité de la situation, le voilà qui se trouve dans ce fourgon de police. A-t-il fini par péter un câble à un tel point que les autorités aéroportuaires ont dû intervenir ? C’est en tout cas ce que ces images montrent. D’autant plus que la légende avec laquelle il a accompagné sa publication n’a rien de rassurant : « C’était une journée à finir comme ça de toute façon ».