Du haut de ses 52 ans, Adriana Karembeu est considérée comme l’une des top models qui ont marqué l’histoire de la mode. Elle est en effet une véritable muse pour les marques qui se sont disputés ses services au fil des ans. Rien ne la prédestinait pourtant à une telle carrière lors de ses débuts. La star s’est rendue à Paris avec pour seule ambition de concrétiser son rêve, mais elle s’est heurtée à de nombreux obstacles. C’était jusqu’à ce qu’elle décroche son tout premier contrat de mannequin qui lui a permis de se lancer dans ce domaine en particulier.

Adriana Karembeu s’exprime sans langue de bois

Outre la carrière remarquable qu’elle a eue dans le domaine de la mode, Adriana Karembeu est également une animatrice télé connue. Elle a d’ailleurs déjà figuré aux côtés de Michel Cymes des émissions sur le corps humain. Cette figure emblématique du mannequinat ne s’est entre autres pas arrêtée là puisqu’elle a écrit un livre dans lequel elle livre des astuces destinées à permettre à ses lectrices de garder la ligne. Il faut croire que la mode est particulièrement exigeante et avoir un certain standard par rapport à sa silhouette est un impératif qui s’applique jusqu’à aujourd’hui. Au micro de nos confrères de Femme Actuelle, la jolie blonde s’est donc confiée sans langue de bois sur son quotidien et sa sexualité.

Un franc parler à toute épreuve

Le franc parler d’Adriana Karembeu a donc une nouvelle fois fait des vagues : « Je ne me suis jamais posée la question avant, parce que pour moi, tout va plutôt bien. Je prends ce qu’il y a à prendre et j’aime vivre ma sexualité à 100%. Mais il est vrai qu’avec l’âge, la femme de 40 à 50 ans se pose énormément de questions sur sa féminité, sa sensualité et sa sexualité. Elle essaie de se reconnecter avec elle-même ».

Des révélations inédites

Adriana Karembeu ne s’arrête pourtant pas là dans ses révélations. Elle poursuit ainsi comme quoi : « Je me suis rendue compte que ça peut poser quelques problèmes et que la femme se dit qu’après 50 ans, elle est rangée dans une catégorie où pas grand-chose l’attend. Ce sont des idées reçues. C’est vrai qu’il faut redécouvrir un corps qui a changé, qui n’est plus le même lorsqu’on avait 20 ans. Mais cela ne veut pas dire qu’elle est bonne à mettre à la poubelle ».