Du ressentiment et de l'amertume, en somme... À 58 ans, Valérie Trierweiler est une personnalité publique de renom. Connue pour avoir été l'épouse de François Hollande, elle a également écrit un livre qui résume bien ce qu'a été la vie éphémère de Première Dame. C'est sous ce mandat qu'elle a d'ailleurs pu rencontrer les autres First Ladies au cours du G8 organisé par Michelle Obama. Mais c'est surtout en tant que journaliste et animatrice française qu'elle se distingue et qu'elle excelle. Ce qui ne l'empêche pas de se livrer à quelques confidences sur celui qui a partagé sa vie pendant moins de 10 ans.

Qui est l'ex-première dame de France ?

Connaître le milieu politique a été un atout pour Valérie Trierweiler. C'est d'ailleurs ce qu'elle avait déclaré à l'AFP. "Je pense que ce sera plus facile pour moi à l'Élysée que cela ne l'a été pour Carla Bruni-Sarkozy. Elle venait d'un monde totalement étranger à celui de la politique. Elle n'en connaissait pas nécessairement les codes". Cela étant, elle a été confrontée à une autre difficulté, sur le plan de l'intimité... Dans un extrait d'un documentaire de Télé-Loisirs, elle raconte avoir vite "compris que la vie privée n'existait plus. On devient privée de vie, déplore-t-elle. Tout vous échappe, lui échappe".

Valérie Trierweiler exprime sa frustration face à François Hollande

"Et à un moment, quand moi, j'ai besoin d’être sécurisée et que j’essaye de lui dire quelque chose qui n’est destiné qu’à lui et que cette phrase, poursuit Valérie Trierweiler dans son témoignage. Le fameux “embrasse-moi” est lu sur mes lèvres, j’ai trouvé ça terrible parce que c’était à la seconde même la preuve qu’aucune intimité ne serait plus possible". Puis, en 2014, coup de tonnerre... Le président de la République est pris en flagrant délit avec sa maîtresse, Julie Gayet, aujourd'hui sa femme.

Une femme toujours présente à gauche

Toujours présente sur la scène publique, Valérie Trierweiler continue de s'exprimer sur les sujets politiques. Notamment sur les ondes de RTL, dimanche 30 juin. La quinquagénaire y a critiqué le président du RN, Jordan Bardella. En effet, elle s'est insurgée face à la comparaison entre le poulain de Marine Le Pen et le regretté président Chirac. "La comparaison s'arrête aux cheveux gominés en arrière, dit-elle. Je crains que les électeurs soient rapidement déçus. D'autant que, qui, jusqu'à présent, a fait de grandes réformes sociales ? C'est la gauche, rien que la gauche", a dit l'ancienne Première Dame de François Hollande, désormais allié au Nouveau Front populaire.